Crédit d’impôt recherche
LE CONTENTIEUX QUI EXISTE AU NIVEAU DU CIR EST PLUS QUE SUBSTANTIEL ET CONSIDÉRABLE
Plusieurs points nécessitent pour l’assujetti d’organiser une plus grande sécurité juridique :
Les entrepreneurs ont souvent le sentiment d’un double langage, d’un côté le politique qui semble donner toutes les garanties et les avantages propres à favoriser l’innovation, de l’autre une pratique des vérificateurs extrêmement restrictive et très souvent perçue comme arbitraire. Cette situation aboutit au fait que certains contribuables peuvent se trouver piégé dans la logique de remise en cause à posteriori par un vérificateur de la subvention à l’innovation et à la recherche. Pour les entrepreneurs qui n’ont jamais pratiqué le CIR, tout semble très facile au départ et le formulaire 2069 ne semble poser aucune difficulté pour les comptables au moment des premières déclarations. C’est lors des contrôles de comptabilité que les difficultés commencent pour les entrepreneurs qui découvrent en général trop tard que certaines conditions particulières doivent être remplies. Conditions difficiles à lire dans les textes sans être un expert du CIR. Les équipes de IP TRUST en partenariat avec des avocats spécialisés en droit fiscal disposent d’une procédure particulière pour résoudre par avance et en amont ces difficultés, et notamment les question d’éligibilité évitant ainsi les déboires de certaines entreprises qui ont du être liquidées pour cause de remboursement du CIR…
En l’état actuel de la législation, la vérification de l’affectation effective à la recherche des dépenses prises en compte (par l’entreprise) pour la détermination du crédit d’impôt recherche peut être vérifiée a priori ou a posteriori par l’administration.